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Super-G Val d’Isère : les réactions des skieuses tricolores

Tracé par le coach italien, le Super-G s’est révélé bien plus difficile qu’il n’y paraissait. En zone mixte, les skieuses tricolores sont venues partagées leurs réactions après la course.

Photo copyright Agence Zoom/Michel Cottin

Romane Miradoli, 18e :

« Je suis trop contente d’être là, de reprendre un départ. Ce n’était vraiment pas simple de ne pas avoir de repères. On a beau savoir que physiquement tout va bien, ça reste un super-G de Coupe du monde, qui était très exigeant… Je me fais un peu submerger par la vitesse et par le tracé, mais j’ai ouvert le premier portillon de l’hiver et j’ai encore plein de belles journées pour m’entraîner avant début janvier donc encore un peu de patience. »

Camille Cerutti, 28e :

« Un week-end compliqué. Il y a du positif quand même. Depuis ma blessure au genou, je n’étais rentrée qu’une seule fois dans les points. Je prends le résultat après un week-end un peu compliqué (chute lors de l’entraînement de vendredi). Je suis très heureuse pour Romane. Même s’il y a beaucoup de filles dehors aujourd’hui, je peux promettre que notre équipe est meilleure que ça et qu’on va faire mal cet hiver. On ne se satisfait pas du résultat d’aujourd’hui. C’est toujours bien d’être dans les 30 mais la vraie victoire sera là quand on sera sur le podium. »

Laura Gauché, DNF :

« C’était un super-G assez compliqué. Je rate une porte juste à la fin. Je manque de direction sur le dernier saut. Tout le monde passait très facilement, pour moi il n’y avait zéro souci. Il y a beaucoup de frustration sur ce week-end. Je pense que j’aurais pu faire de bons points. Sur la descente (22e samedi à Val-d’Isère), je fais quand même de très belles choses donc je suis frustrée et je n’ai pas vraiment de regret. Je ne pouvais pas faire mieux avec les armes du moment. Il y a énormément de déception. »

Karen Smadja-Clément, DNF :

« Abandon… je suis frustrée. Je n’ai pas su m’adapter et j’ai été dépassée par les évènements. C’est un tracé qui va vite et où il faut beaucoup anticiper et clairement, je n’ai pas réussi. Cela fait deux jours qu’on skie ici donc on sait à quoi s’attendre. Cela fait partie de l’apprentissage. En Coupe du monde, les manches sont beaucoup plus longues donc il faut que je sois capable de skier jusqu’en bas. »

Tifany Roux, DNF :

« Cela tapait beaucoup, ce qui m’a un peu désunie. J’ai un petit peu perdu les fondamentaux et je suis partie à la faute. Cela reste une bonne expérience. Le but, c’est d’apprendre de cette course et de ne pas le répéter. Je m’habitue aussi à l’ambiance de la Coupe du monde, je gère. Cela me sera utile »

Anouck Errard : DNF

« Le tracé du Super-G était vraiment très beau mais malheureusement c’est une piste qui a beaucoup bougé. Cela tapait énormément, on n’a pas eu forcément les infos et on ne se rendait pas compte à la télé. Dans toutes les entrées, il y avait beaucoup d’escaliers. Il fallait être beaucoup plus ronde, beaucoup plus juste. Ce que je n’ai pas été ! »