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Maria Therese Tviberg et Alexander Schmid sacrés Champions du monde en parallèle individuels

Après l’épreuve par équipes mardi, les parallèles individuels des championnats du Monde de Courchevel Méribel 2023 ont vu le sacre de la Norvégienne Maria Therese Tviberg et de l’Allemand Alexander Schmid sur la piste du Roc de Fer.  Tous deux décrochent à cette occasion leurs premiers titres mondiaux.

Photo copyright Agence Zoom/Alain Grosclaude

Maria Therese Tviberg l’a emporté en finale dames sur la Suissesse Wendy Holdener. Chez les hommes, Alexander Schmid a pris le meilleur sur l’Autrichien Dominik Raschner.

Les Norvégiens Thea Louise Sternesund et Timon Haugan, vainqueurs des petites finales dames et hommes, complètent les podiums.

Dans le clan français, la jeune skieuse de Courchevel, Marie Lamure, 21 ans, prend une prometteuse 4e place devant son public.

Alexander Schmid, champion du Monde de parallèle hommes :
« C’était une journée folle. Il s’agit de mon premier titre mondial et je suis vraiment très heureux. 

À chaque run, une nouvelle chance s’offrait à moi. Il était très important que je reste concentré pour ne pas commettre d’erreur. C’est difficile, très particulier, de passer d’une course individuelle à un face à face.Quel plaisir de célébrer cette victoire avec mon équipe ! »


Maria Thérese Tviberg, championne du Monde de parallèle dames :
« Je me bats toujours pour donner le meilleur sur chaque course. Aujourd’hui, j’ai réussi. Je n’avais jamais eu de médaille mondiale individuelle auparavant. Décrocher l’or, c’est incroyable. Hier je suis tombée lors du parallèle par équipes. J’ai atterri sur le dos. J’ai eu de la chance d’avoir une protection dorsale, j’étais juste un peu contusionnée. Aujourd’hui, je gagne. Les jours se suivent et ne se ressemblent pas. J’ai tellement d’adrénaline. »

Marie Lamure, 4e du parallèle dames et première Française :
« Aujourd’hui, en particulier au départ de la petite finale, je me suis dit : ‘Ne lâche rien’. J’ai joué jusqu’au bout.Je perds mon ski en luttant pour la médaille de bronze.
C’est le jeu du ski alpin. J’aurais bien sûr aimé ramener une médaille à ma famille, mes amis, toutes celles et ceux qui sont venus me supporter. Pour autant, cette médaille en chocolat, je la savoure. Au départ, j’entendais la foule, le portillon tremblait presque. Quel incroyable moment ! »