Paru aux éditions Glénat, le livre Grand Nord, un voyage dans le cercle arctique nous emmène entre le 60e et le 90e degré de latitude et nous dévoile des photos époustouflantes qui nous restitue toute la beauté de ces contrées sauvages.
Mon premier plaisir lorsque j’ai ouvert ce magnifique livre Grand Nord publié par les Editions Glénat a été d’en lire la préface. Elle est signée Jean-Louis Etienne qu’on ne présente plus. Un hasard dans ma vie professionnelle a voulu que je le rencontre dans les années 80 lorsqu’il préparait l’expédition internationale Transantarctica, la plus grande traversée de l’Antarctique à traîneaux à chiens. Jean-Louis Etienne recherchait un moyen radio performant pour lui permettre de communiquer dans des conditions extrêmes. Nous avions été fiers chez Thomson-CSF (aujourd’hui Thales) de lui fournir un bijou de technologie qui a fait merveille dans les froids polaires de l’Antarctique.
Dans cette préface de Grand Nord, j’ai retrouvé toute l’émotion avec laquelle l’explorateur sait si bien nous décrire les attraits des régions polaires et une invitation à voyager loin d’un monde où on perd parfois beaucoup de nos repères !
Mon second plaisir a été de partir à la découverte de nombreux pays, régions et villes qui progressivement nous emmènent vers le pôle Nord géographique, le point culminant de la planète. Alaska, baie d’Hudson, Iles Féroé, Archipel de Lofoten, Cap Nord, Islande, Islande et Groenland : ces noms évocateurs défilent tout au long des 300 pages de « Grand Nord ».
Mon troisième plaisir a été de contempler les photographies – plus de 400 au total – qui parsèment le récit. On se surprend à s’immerger complétement dans la toundra, les fjords, les glaces d’un bleu profond, comme si on était transporté au cœur de ces paysages spectaculaires à la beauté époustouflante.
Mon quatrième plaisir a été de faire plus ample connaissance avec la faune rencontrée dans ce Grand Nord : pingouins, ours blancs, morses, loups arctique, rennes, renard des neiges, bœufs musqués, chouettes lapones ou encore phoques barbus !
Enfin, mon cinquième plaisir a été d’écrire cette chronique de lecture en espérant qu’elle vous donne, à votre tour, envie de lire cet ouvrage de référence.