Quand il était en équipe de France, sa spécialité de ski alpin c’était le slalom, et le combiné sur le tard.
Quand en 1998, il remporte sa première victoire en coupe du monde à Park City aux États-Unis, tous ses fans sourient.
Quand en 2001 à Shiga Kogen au Japon il gagne coup sur coup les deux slaloms du week-end, le ski français applaudit.
Quand en 2002, il est parterre alors que ses deux copains Jean-Pierre Vidal et Sébastien Amiez sont debout en or et en argent sur le podium des Jeux Olympiques de Salt Lake City, on est triste pour lui.
Quand il se blesse sérieusement après 124 départs en Coupe du Monde, on a mal pour lui car on aurait aimé une fin de carrière qui lui sourit.
Et quand 10 ans plus tard, je rencontre Pierrick Bourgeat à Saint Egrève près de Grenoble, j’ai beaucoup apprécié l’écouter me raconter son Après Ski qui rit…