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Les préparatifs de la Gran Becca se déroulent comme prévu

A un mois du « Matterhorn Cervino Speed Opening », les préparatifs pour les descentes de Coupe du Monde des 11/12 novembre pour les hommes et des 18/19 novembre pour les femmes se déroulent comme prévu malgré les températures élevées de cet automne.

Photo copyright Matterhorn Cervino Speed Opening/Stefan Boegli

Le comité local d’organisation des courses d’ouverture de la saison de vitesse à Zermatt Cervinia se veut rassurant. « Les températures élevées actuelles n’ont pas d’impact négatif sur la préparation des pistes. Nous sommes confiants et pas du tout inquiets », a précisé Franz Julen, président du comité d’organisation local dans un communiqué de presse destiné à faite le point sur la préparation de la piste.

Les deux tiers de la Gran Becca sont déjà prêts et la neige provenant de plusieurs dépôts a été distribuée sur la partie inférieure non glaciaire de la piste depuis ce mardi.

A Un mois de la première course, les experts ont donné des avis positifs sur l’état de la  piste et de la neige. L’inspection de la « Gran Becca » a montré que la partie glaciaire est prête. Les équipements nécessaires, tels que les câbles et les fibres optiques, seront posés et les réseaux connectés à ces deux tiers de la piste. Les cinq dépôts de neige dans la partie inférieure de la piste sont plutôt rassurants et un gage de confiance pour les prochaines semaines.

Le dépôt de neige situé au sommet du « Plateau Rosa Schuss », à l’extrémité du glacier, a été le premier à être utilisé. Au cours des deux prochaines semaines, tous les dépôts seront répartis sur le tiers inférieur du tracé.

La quantité de neige stockée est largement suffisante et les dépôts de neige constituent le plan B pour la préparation de la piste sur la partie hors glacier.

Le plan A reste évidemment la neige naturelle. Les prévisions météorologiques annoncent des températures plus froides et quelques précipitations pour ce week-end. « Ces deux facteurs nous aideront et nous rendent optimistes. Mais comme toujours, c’est la nature qui a le dernier mot en matière de ski« , conclut Franz Julen.